Il y a-t-il plus belle saison que l’Été ? Assurément, je ne pense pas. Comment pourrait-on décemment préférer la tristesse et le froid de l’Hiver aux rayons chauds et rassurants du Soleil ? Cela me semble inconcevable. Aussi, c’est avec une patience vacillante que j’attends ma saison préférée de l’année. Je suis pourtant déjà bien gâtée en cette fin de Printemps : il fait déjà fort beau et chaud ! Le climat japonais aidant. Bien que j’ai toujours trouvé l’air ambiant bien plus humide que ma tendre île grecque. Je vais aussi bientôt prêter les rênes de mon émission – le temps de la saison estivale – pour profiter de vacances bien méritées. Il faudra d’ailleurs que je réfléchisse à quelques destinations. Peut-être la Turquie, j’aimerai visiter l’ancienne côte lycienne. Profiter de la mer aussi !
En parlant de mer et en attendant de faire trempette dans la Méditerranée, je suis bien tentée d’aller faire un tour à la plage en ce dimanche ensoleillé. C’est qu’un bronzage parfait se travaille régulièrement ! Je file dans ma chambre pour me dévêtir et enfile un petit bikini dorée. L’idée n’étant pas d’attirer les voyeurs, mais que le plus de surface de peau profite du Soleil. Par-dessus, j’enfile une petite robe de plage blanche légère et quelque peu transparente. Dans un sac de sport, je fourre une serviette et divers babioles dont je pourrais éventuellement avoir besoin. Là-dessus, je vais saluer ma biquette de compagnie Khimaira dans son enclos.
Finalement, je déploie mes ailes d’or pour m’envoler. Il me faut quelques minutes pour traverser la ville et finir au-dessus de la plage. Depuis les cieux, j’aperçois un coin de sable assez tranquille. Parfait ! Je m’y pose gracieusement. Une fois les pieds sur terre, je laisse mes ailes disparaitre dans des gerbes de lumières dorées. Je peux alors poser mon sac au sol et en sortir ma serviette de bain – blanche avec une tête de bélier dorée au milieu. Je vais enfin pouvoir m’adonner à mon sport préféré : bronzer en plein cagnard. Pas besoin de lunettes de Soleil, de chapeau ou de crème. Tout cela, c’est bon pour la plèbe ! Nous autres béliers et brebis d’or pouvons profiter des rayons solaires en toute quiétude.
Je retire ma robe et m’allonge sur ma serviette. Sable fin. Ciel bleu. Mélodie des vagues. Hum… Il y a quand même quelque chose qui me chiffonne et ce n’est pas – seulement – les cris des gosses qui s’éclaboussent un peu plus loin. Je regarde mon ami le Soleil. Il fait son timide ! Enfin, pour une personne classique, j’imagine qu’il est déjà bien suffoquant, mais je ne suis pas de ceux-là. Je lève le bras et use de mon don pour canaliser légèrement la puissance de l’astre. Traverse alors depuis les cieux un rayon qui vient s’écraser sur ma peau.
Ah. Voilà.
La perfection à l’état solaire !
En parlant de mer et en attendant de faire trempette dans la Méditerranée, je suis bien tentée d’aller faire un tour à la plage en ce dimanche ensoleillé. C’est qu’un bronzage parfait se travaille régulièrement ! Je file dans ma chambre pour me dévêtir et enfile un petit bikini dorée. L’idée n’étant pas d’attirer les voyeurs, mais que le plus de surface de peau profite du Soleil. Par-dessus, j’enfile une petite robe de plage blanche légère et quelque peu transparente. Dans un sac de sport, je fourre une serviette et divers babioles dont je pourrais éventuellement avoir besoin. Là-dessus, je vais saluer ma biquette de compagnie Khimaira dans son enclos.
Finalement, je déploie mes ailes d’or pour m’envoler. Il me faut quelques minutes pour traverser la ville et finir au-dessus de la plage. Depuis les cieux, j’aperçois un coin de sable assez tranquille. Parfait ! Je m’y pose gracieusement. Une fois les pieds sur terre, je laisse mes ailes disparaitre dans des gerbes de lumières dorées. Je peux alors poser mon sac au sol et en sortir ma serviette de bain – blanche avec une tête de bélier dorée au milieu. Je vais enfin pouvoir m’adonner à mon sport préféré : bronzer en plein cagnard. Pas besoin de lunettes de Soleil, de chapeau ou de crème. Tout cela, c’est bon pour la plèbe ! Nous autres béliers et brebis d’or pouvons profiter des rayons solaires en toute quiétude.
Je retire ma robe et m’allonge sur ma serviette. Sable fin. Ciel bleu. Mélodie des vagues. Hum… Il y a quand même quelque chose qui me chiffonne et ce n’est pas – seulement – les cris des gosses qui s’éclaboussent un peu plus loin. Je regarde mon ami le Soleil. Il fait son timide ! Enfin, pour une personne classique, j’imagine qu’il est déjà bien suffoquant, mais je ne suis pas de ceux-là. Je lève le bras et use de mon don pour canaliser légèrement la puissance de l’astre. Traverse alors depuis les cieux un rayon qui vient s’écraser sur ma peau.
Ah. Voilà.
La perfection à l’état solaire !