La curiosité peut-être un vilain défaut.
La jeune Professeur d'Astrologie, avait décidé que ce soir-là, elle voulait changer quelques habitudes et s'amusait un peu en dehors de ses livres d'études et d'émission culturelle.
La voilà sur la route, d'un chemin pas si bien fréquenté, dans sa belle tenue, pour aller à l'ouverture d'un nouveau bar dansant, dont un élève avait parler. Curieuse, Hyuuran avait décidé d'aller voir par elle-même le lieu, et voir s'il était si bien, si goûtu et amusant qu'avait dit cet élève, adulte, je rassure. Car ces cours n'étaient pas simplement aux étudiants, des fois, il y avait des clubs pour les excentriques qui voulaient s'essayer ou comprendre des formes de magies, d'autres juste le monde autour d'eux !
Enfin, qu'importe, elle était ici, innocemment. Une belle cible, pour le prédateur, et d'une véritable beauté aussi froide que l'hiver d'apparence, mais dont quelques formes révèlent le potentiel. Mais mademoiselle Kaarm ne prêtait jamais attention à ce genre de regard, et se contentait de toujours se dire que tout irait bien et qu'il n'y avait pas de raison.
On est dans le déni, on ne veut jamais croire que les problèmes puissent nous arriver dessus, surtout, quand on a eu une vie un peu trop simpliste et joyeuse à la Hyuuran. Ce déni, malgré sa grande curiosité du monde, était fort encrer en elle... Car elle voulait croire dans les humains et dans les Créatures, tout le monde de fait.
Ce soir, verra-t-elle probablement un nouveau décor peu enchanteur ?
Arriva dans ce dit bar, elle fut surprise du niveau de fumée qui la fit tousser et glousser, attirant quelques regards auprès desquels elle s'excusa. Elle ignorait que celui-ci autorisait de fumée à l'intérieur... Mais l'odeur de celle-ci était si étrange, qu'elle en avait eu le tournis... Et en son for intérieur, elle ne voulait pas croire que c'était des groupes d'amis qui profitaient de choses si mauvaises. Ou alors d'une ou deux, après tout, ça ne fait pas mal de souffler hors du stress, n'est-ce pas ? Peut-être ?
Au bar, elle se prit un cocktail, puis un deuxième, assez prudente au début.
Elle jaugeait la salle, la musique et l'ambiance. Beaucoup de personnes étaient dans leurs coins autour de table, probablement dans des discussions sérieuses, des jeunes femmes dansaient de manière très provocatrices, parfois certaines jeter un vêtement sur un dévolu. Une drague comme une autre. Il était, dans tous les cas, plus vulgaire qu'aux attentes de notre Professeur... Mais qu'espérait-elle aussi dans ses bas quartiers ?
Parfois, il y a des pépites, il ne faut jamais juger.
Et encore là, elle ne jugeait pas, regardant juste le monde en dégustant ses boissons, ignorant les regards envers elle. Attendant une musique plus à son goût pour se jeter sur la piste, et profiter aussi d'un moment défouloir, même si au moins, une chose était sûr : elle n'aura pas de dévolu ce soir. Personne n'avait tiqué chez elle. Sauf, la dame superbement habillée aux cheveux long et coulant comme l'or, dans un autre coin, plus sage et moins tendu que le monde autour.
Cependant, le temps de la socialisation n'était pas encore venu. Finissant son verre, Hyuuran partis, innocemment, sur la piste pour profiter du rythme.
Se lâchant un peu, la jeune professeur profita. Comme certains porteurs aux créatures, elles usaient de sa magie pour agrémenter sa danse ou son plaisir. La sienne, d'illusion aux mille couleurs boréales, formant astres et planètes, animaux et natures, qui se mirent à danser en rythme avec elle, sur cette musique plus calme. Un jeu s'installait avec son illusion, et elle, comme deux danseurs qui se dévoraient des yeux, en éblouissant une piste de ce tour de passe-passe.
Qui ne plus pas trop ni à certains, ni à certaines.
Alors qu'elle se défoulait et s'amuser, en passer à travers son illusion, la faisant disparaître à coup de bras et d'air, avant de faire face à Hyuuran. Grand homme basané, avec une gueule cicatrisé, qui avait l'air fort mécontent, deux femmes à chaque bras qui jaugeait la dryade face à eux.
Hyuuran se confond en excuses, ne sachant trop comment réagir à cette première. Puis finalement, l'homme sourit, agrippant sauvagement son poignet et la tirant vers lui. Il semblait réclamer une session plus privée, jauger ses dons pour un travail.
L'expatrié s'exprima fortement que non, elle en avait un, n'en voulait guère d'autres, et n'était pas intéressant par ce bourru ! Au moins, son honnêteté ne changeait pas... Mais la tête de l'autre abrutit semblant se prendre à un jeu non-désiré en soulevant la légère dryade, touchant ses bois pour vérifier leurs véracités, papotant alors que Hyuuran rouspétait.
Mais cela semblait normal, car personne ne semblait vraiment réagir, plus qu'à cela...
La voilà sur la route, d'un chemin pas si bien fréquenté, dans sa belle tenue, pour aller à l'ouverture d'un nouveau bar dansant, dont un élève avait parler. Curieuse, Hyuuran avait décidé d'aller voir par elle-même le lieu, et voir s'il était si bien, si goûtu et amusant qu'avait dit cet élève, adulte, je rassure. Car ces cours n'étaient pas simplement aux étudiants, des fois, il y avait des clubs pour les excentriques qui voulaient s'essayer ou comprendre des formes de magies, d'autres juste le monde autour d'eux !
Enfin, qu'importe, elle était ici, innocemment. Une belle cible, pour le prédateur, et d'une véritable beauté aussi froide que l'hiver d'apparence, mais dont quelques formes révèlent le potentiel. Mais mademoiselle Kaarm ne prêtait jamais attention à ce genre de regard, et se contentait de toujours se dire que tout irait bien et qu'il n'y avait pas de raison.
On est dans le déni, on ne veut jamais croire que les problèmes puissent nous arriver dessus, surtout, quand on a eu une vie un peu trop simpliste et joyeuse à la Hyuuran. Ce déni, malgré sa grande curiosité du monde, était fort encrer en elle... Car elle voulait croire dans les humains et dans les Créatures, tout le monde de fait.
Ce soir, verra-t-elle probablement un nouveau décor peu enchanteur ?
Arriva dans ce dit bar, elle fut surprise du niveau de fumée qui la fit tousser et glousser, attirant quelques regards auprès desquels elle s'excusa. Elle ignorait que celui-ci autorisait de fumée à l'intérieur... Mais l'odeur de celle-ci était si étrange, qu'elle en avait eu le tournis... Et en son for intérieur, elle ne voulait pas croire que c'était des groupes d'amis qui profitaient de choses si mauvaises. Ou alors d'une ou deux, après tout, ça ne fait pas mal de souffler hors du stress, n'est-ce pas ? Peut-être ?
Au bar, elle se prit un cocktail, puis un deuxième, assez prudente au début.
Elle jaugeait la salle, la musique et l'ambiance. Beaucoup de personnes étaient dans leurs coins autour de table, probablement dans des discussions sérieuses, des jeunes femmes dansaient de manière très provocatrices, parfois certaines jeter un vêtement sur un dévolu. Une drague comme une autre. Il était, dans tous les cas, plus vulgaire qu'aux attentes de notre Professeur... Mais qu'espérait-elle aussi dans ses bas quartiers ?
Parfois, il y a des pépites, il ne faut jamais juger.
Et encore là, elle ne jugeait pas, regardant juste le monde en dégustant ses boissons, ignorant les regards envers elle. Attendant une musique plus à son goût pour se jeter sur la piste, et profiter aussi d'un moment défouloir, même si au moins, une chose était sûr : elle n'aura pas de dévolu ce soir. Personne n'avait tiqué chez elle. Sauf, la dame superbement habillée aux cheveux long et coulant comme l'or, dans un autre coin, plus sage et moins tendu que le monde autour.
Cependant, le temps de la socialisation n'était pas encore venu. Finissant son verre, Hyuuran partis, innocemment, sur la piste pour profiter du rythme.
Se lâchant un peu, la jeune professeur profita. Comme certains porteurs aux créatures, elles usaient de sa magie pour agrémenter sa danse ou son plaisir. La sienne, d'illusion aux mille couleurs boréales, formant astres et planètes, animaux et natures, qui se mirent à danser en rythme avec elle, sur cette musique plus calme. Un jeu s'installait avec son illusion, et elle, comme deux danseurs qui se dévoraient des yeux, en éblouissant une piste de ce tour de passe-passe.
Qui ne plus pas trop ni à certains, ni à certaines.
Alors qu'elle se défoulait et s'amuser, en passer à travers son illusion, la faisant disparaître à coup de bras et d'air, avant de faire face à Hyuuran. Grand homme basané, avec une gueule cicatrisé, qui avait l'air fort mécontent, deux femmes à chaque bras qui jaugeait la dryade face à eux.
Hyuuran se confond en excuses, ne sachant trop comment réagir à cette première. Puis finalement, l'homme sourit, agrippant sauvagement son poignet et la tirant vers lui. Il semblait réclamer une session plus privée, jauger ses dons pour un travail.
L'expatrié s'exprima fortement que non, elle en avait un, n'en voulait guère d'autres, et n'était pas intéressant par ce bourru ! Au moins, son honnêteté ne changeait pas... Mais la tête de l'autre abrutit semblant se prendre à un jeu non-désiré en soulevant la légère dryade, touchant ses bois pour vérifier leurs véracités, papotant alors que Hyuuran rouspétait.
Mais cela semblait normal, car personne ne semblait vraiment réagir, plus qu'à cela...
Codage par Libella sur Graphiorum