Dance for me Pretty Lady
Ft Marina

Une autre journée de boulot, c'était fini et c'était le pire type, de la paperasse toute la journée et des rapports. D'un ennui absolut. J'avais une envie folle d'allez boire un verre et me relaxer. Je fonçais chez moi d'abord, pour aller sauter dans une douche froide, car tout le stress accumulé me faisait transpirer énormément et je me sentais mal à l'aise.

Après une douche glacial, je me sentais renaître. Qu'est-ce que j'allais bien mettre ce soir ? J'hésitais entre un de mes complet noir et un bleu, mais après, je me suis souvenue que j'en avais acheté un tout blanc, ça allais bien avec mes cheveux et je n'avais pas eu l'occasion de l'essayer.

Après m'être habillé, je vérifiais que j'avais tout ce dont j'avais besoin sur moi et je pris la route de la ruelle où les bar se situent. Mais j'était étourdi, distrait par une femme fort sympathique de l'autre côté de la rue, que je me suis trompé de ruelle. Faut dire que depuis cette soirée avec Lily, beaucoup de chose avec changé avec moi, j'était beaucoup plus à l'aise avec la gente féminine. Cela pouvait se voir à ma démarche, beaucoup moins fermer sur soi, plus d'assurance. Comme quoi, trempé la biscotte ça change un loup.

Quand je repris mes esprits, je n'étais pas dans la bonne ruelle, mais tant pis, j'aimais bien explorer. Un des locaux s'appelait le "One in a Million", le nom m'intriguais et je décidais d'y aller. J'étais très surpris par l'ambiance de cet établissement.

Déjà, l'entrée était particulière, ça se faisait par un sas et aucun moyen de voir l'intérieur, ce qui m'intriguait encore plus. Je me fis contrôler et je passais sans soucis. En pénétrant dans l'enceinte de la boite, j'eus une surprise des plus cocasse. Beaucoup de femmes dénudées, qui dansais, c'était donc ce genre d'établissement et ce n'était pas pour me déplaire.

Je pris place autour d'une des tables et je me retrouvais assis d'une jeune femme aux cheveux bleus, qui avais l'air médusé par les danses érotiques qui arrivaient devant nos yeux.

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La jeune qui était à mes côtés commencé à me parler, heureusement que j'avais une très bonne ouïe dans l'endroit pareil, car la musique était forte. Je me tournais mon regard vers elle, en baissant un peu la tête, mais en gardant les yeux sur son regard. Elle venait de dire quoi ? Je n'allais certainement pas me laisser faire et je comptais bien en profiter.

Après ça, elle se rapprochais de moi et était plus douce d'un coup, plus sensuel même, mais c'était difficile de ne pas voir son regard de prédateur et apparemment, j'étais sa proie. Où du moins c'est ce qu'elle pensait. Je pouvais lire dans son jeu et ça phrase suivant venait appuyer ces propos et ces gestes, vu qu'elle, c'était collé à moi. Dés deux, j'étais le prédateur naturel, je pouvais sentir ce genre de choses.

- Ça tombe bien, je voulais passer la soirée en compagnie d'une jolie fille.

C'était à mon tour de sourire tel un prédateur, je n'allais certainement pas me laisser dévorer. Si j'avais appris une chose avec Lily & Billie, c'était que prendre les devant était la meilleure chose à faire. Je fit signe à un serveur pour qu'une vienne à notre table. J'avais pu observer qu'elle avait déjà un verre de vin blanc, que j'avais reconnus à l'odeur.

- Une bouteille votre meilleur vin s'il vous plaît

Je ne pense pas qu'elle s'attend à ça et que plutôt, j'allais m'écraser, mais non pas cette fois. Je comptais bien profiter de la soirée. Je retournais mon regard ma compagne du soir en lui souriant de manière malicieuse. J'observais brièvement autour et je notais que c'était un local fumeur, très bien, j'avais besoin d'une clope. Je sortis mon paquet, puis je m'en allume une et j'en propose une à cette mystérieuse prédatrice.

- Tu veux une cigarette ?

Disais-je alors que je tendais mon paquet avec une cigarette qui ressortait vers elle et je mis à l'aise, en plaçant une main derrière elle, après tout elle, c'était collé à moi, autant se mettre bien et profité. Je pouvais mieux observé cette jeune femme, elle avait une très belle figure et très clairement elle ne me laissais pas indiffèrent.

- Mais où sont mes manières, comment tu t'appelle ? On aurait dû commencer par là, non ?

Une soirée très excitante et intéressant s'offrais à moi ce soir.

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Je Ne m'attendais pas à ça, j'étais tombé sur ce que les jeunes appelées une Bad Bitch, c'est-à-dire une femme qui est, on va dire particulière et pas très recommandable en temps normal, mais j'en avais pas beaucoup à foutre, après tout, je voulais me vider la tête ce soir et ça allais simplement être plus complexe que d'habitude.

En y repensant, le "Mon vieux" il faisais un peu mal quand même, si elle savait l'âge que j'avais elle parlerais peut-être autrement, mais bon, ma tête n'était pas à ça et puis ce n'était pas une Brat comme Billie, après peut-être qu'elle l'es et auquel cas ça serra amusant, mais déjà là ça va être amusant.

La vitesse a lequel elle avait fini son verre et venais se coller à moi, ça ce n'était pas clair. Mon petit Hiro, méfie toi, les plus vivaces et entrepreneuse sont les plus dangereuses, c'est bien beau qu'elle te fasse les yeux doux et semble intéresser par toi, mais au final elle ne veux jouer qu'avec toi donc fait gaffe vieux!

Elle se servait un autre verre, et à la vitesse avec laquelle elle avait terminé le précèdent, quelque chose clochais chez elle, si elle n'était pas bourrée dans le quart d'heure qui suit, fallait s'inquiéter. Suite à cette descente et reservage de verre, je sentis le petit pique dans ça voix, ce n'était pas naturel, mais si c'était ne se serrais qu'un minimum sincère, c'était appréciable.

À ce moment-là, la serveuse arrivait, elle était vêtue d'une jupe très courte, un vrai plaisir pour les yeux, mais ce n'était pas elle la proie de ma soirée. Mon acolyte alcoolique de la soirée finit son autre verre avant de me donner son verre pour que je lui remplisse son verre. En bon gentleman que je suis, un joli sourire se dessinait sur mes lèvres, mais il avait une autre signification, ce sourire, ce soir, c'était elle la proie et moi le prédateur et je comptais très clairement en profiter. Au vu de sa descente, elle était attirée par l'alcool et cela allait signer sa perte.

Le vin servi, avait une grande réputation d'être d'une excellence sans rivaux, il avais une légèreté d'arôme et une gout fruitée très bien gérer lors de ça production, avec un dosage parfait entre le côté sucrée des fruit et l'amer de l'alcool, pour créer un nectar divin. Un des rares vins qui me manquaient dans ma collection et un des derniers que je n'avais pas eu l'occasion de goûts.

- J'espère que le choix du vin te plaira.

Autant joué les faux-culs jusqu'au bout et ne pas ce privé de cette sensation de porté un masque qui n'es pas le nôtre.

Après que j'aie allumé ma cigarette et proposé une a la jeune femme, elle me fit signe de le mettre dans son porte-cigarettes. Quelque chose que je ne pouvais lui retirer, c'était qu'elle avait du goût et c'était quelque chose que j'appréciais et ça allait peut-être me la faire apprécier un peu plus. Après qu'elle m'ait empreinte et qu'elle, ce soit allumé sa cigarette, elle m'ébouriffe les cheveux, c'était agréable, je dois bien l'admettre. Elle remettait une couche juste après, mais bien sûr, sinon ce n'était pas elle et ça n'aurais pas été drôle. Elle n'avait pas tort, cela dit, jusqu'à maintenant toutes les femmes avec qui j'étais et ça se comptait à une main, ce n'était pas galanterie et esprit de gentleman, Billie est peut-être l'exception, que dis-je elle l'es.

- Tout à fait, j'ai pas à m'en plaindre et jusqu'à maintenant ça à toujours fonctionner.


C'était un demi-mensonge, d'un côté oui ça avais toujours fonctionné, mais de l'autre ce n'était arrivé qu'une poignée de fois, donc pas très représentative.

Et elle entamait un autre verre, je prenais note de ça, ça pouvait me servir pour plus tard. Après ça, elle m'invitait à la suivre, chose que je fis sans trop protesté, après tout, je n'allais pas lui refuser d'aller dans un endroit plus tranquille, qu'était la pire chose qui pouvait m'arriver ? Tellement ça ne me préoccupait que je n'en avais aucune idée. On se retrouvait dans le coin fumeur et à ma grande surprise, elle m'agrippait le poignet pour qu'on se retrouve près des barrières de la terrasse, loin des autres gens présents. La lumière tamisée Bleu donnais un effet fort sympathique mais aussi, il fessait ressortir mes yeux comme si j'étais dans le noir complet, est-ce que ça allais me dénoncer comme Lycan à ses yeux, je ne pouvais en être sûr.

Elle me donnait ça carte de visite, en me soutenant du regard et pendant un instant, j'oubliais sont côté Bad Bitch et je me posais du regard sur ses yeux azurite, il était d'une grande beauté et ça me laissait pas spécialement indiffèrent. Je ne regardais pas encore, ça carte de visite, car elle enchaînait de son côté en se présentant, c'était Marina Heartwood et médecin phytothérapeute dans la forêt d'Osaka, bon à savoir ça, ça pouvais toujours servir. Après avoir tiré une bouffée de sa cigarette, elle vint me susurrer qu'elle pouvait réaliser les rêves les plus fou, initialement, je pensais que c'était une phrase aguicheuse, mais non, elle faisait ça pub quand elle mentionnait un rendez-vous. Je le gardais quand même en tête, sait-on jamais. Bien évidemment, elle me demandait à mon tour de déclarer mon identité, comme elle avait fait. Ce qui me paraissait équitable.

- J'y penserais à l'occasion

- Hiro, Hiro Yoshida, Avocat et j'ai un cabinet au centre-ville d'Osaka.

Je pris une grande bouchée de ma cigarette, ça me donnait un petit coup de relaxe qui était grandement requis.

- Si jamais t'as besoin de te sortir d'une situation compliqué, je peux m'en occuper.

Le tout avec un petit sourire commercial.

En voyant que tous les deux nous avions finis notre cigarette, cette fois c'est moi qui la pris délicatement par le poignet pour la ramener dans la salle et retrouvé notre place.

Une fois à la table, je me resservis un verre et j'étais surpris de voir les talents de danseuse de la dame qui se trémoussait autour d'un poteau puis je regardais Marina, elle semblait très intéresser par cette femme aussi, à en juger comment elle la regardait.

- Dis, ça fait longtemps que tu viens ici ? C'est la première fois que j'y met les pieds.

Du coin de l'œil je pouvais observer que les clients donnaient des billets à la jeune femme qui dansais contre des danses plus proches et sensuelles, bon à savoir ça.

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Ft Marina

Après que nous réprime place, Marina ce repris un verre. C'était quoi le 4éme, 5éme ? Surement plus que ça, elle me paraissait d'avoir déjà commencé une descente alcoolémique avant mon arrivée. Au vu de son odeur, elle me semblait humaine et je dois dire qu'elle avait une tenue de l'alcool remarquable, on ne va pas lui envoyer ça.

Après qu'elle ait fini ça gorge, elle me répondait qu'elle venait ici depuis 2 ans donc une habituée. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle enchaîne en me demande depuis combien j'étais à Osaka et elle parlais des femmes. Je ne lui donnerais pas tort sur la beauté des femmes ici. Si elle savait que ça fait quasiment 300 ans que je suis ici, est-ce qu'elle aurais une approche différente ? Sans alcool sûrement, mais l'alcool fait justement ressortir notre vraie personnalité, donc pas forcément mieux si elle était sombre en fin de compte. Je me repris un autre verre avant de répondre, c'est qu'il était bon ce vin, je devrais en acheter pour moi à l'occasion.

- Moi ? Ça va faire bientôt un peu de 300 ans que je vis à Osaka.

Malgré l'air très narquois et piquant de Marina, je gardais mon sérieux et je gardais un regard constant dans ses yeux bleus, il avait un quelque chose de mystique et attirant. Il n'était pas blanc clair et vibrant comme mes yeux, c'était un bleu plus profond, plus sombre et presque avec une certaine tristesse dans ce bleu.

Elle m'invitait ensuite à la suivre, pour mieux observé la danseuse. J'était tellement concentré sur Marina, avec une certaine hypnose vers elle que j'en avais oublié notre chère danseuse. Marina était très contente et je dois admettre que moi aussi, c'est toujours agréable de voir une femme en lingerie fine d'aussi prêt. De son côté, ma compagnie du soir glissé une liasse dans le string de la demoiselle et d'un regard qui narguaient, elle touchait les cuisses de la danseuse, comme si cela allait me rendre jaloux. J'étais loin d'être jaloux, mais la situation m'amusait, ça, je n'allais pas le cacher et un sourire amusé se dessina sur mes lèvres.

Si ce n'était pas clair avant Marina se plaisais à me provoquer et je ne peux qu'admettre que ça marchais, un peu, pas trop, mais ça piquais mon ego, ça oui. Et après ça, ça tirais à balle réelle, en insinuant que soit je n'avais jamais était avec une femme soit j'était addict à ça. Si seulement elle savait, bien sûr, je n'allais pas lui dire que les femmes et moi, c'était récent, d'à peine plus d'une semaine, car là, elle n'allait pas me bouffer, elle allait me crucifier en place publique.

Les derniers mots m'avaient achevé, un K.O. Technique clairement. Heureusement que je m'en foutais de ce genre de remarque, j'avais appris à m'en foutre depuis mon arrivé ici, surtout avec les commentaires faits sur les Lycan quand on était encore chassé. J'admets que ça m'avait un peu blesser quand même, surtout que je ne me comportais pas comme la plupart des hommes et j'étais plutôt dans le respect et dans la galanterie, mais il faut dire que des fois, il faut se salir les mains et oublié un peu ça.

- J'ai touché à plus de filles que tu n'en toucheras en une vie, j'ai pas à me plaindre.

Alors, c'est faux, mais d'un faux, que j'en ai même honte d'avoir menti, mais fallait bien que je me défende bordel.

Après ça, on retournait s'assoit et Marina gigotais, ce n'était pas pour me déplaire bien au contraire, malgré une beauté qu'on ne pouvait pas nier dansais pour nous, j'était beaucoup plus concentré sur Marina, elle m'intriguait bien qu'elle soit particulière et assez piquant, quelque chose m'attirait chez cette fille.

Elle avait l'œil en tout cas, et c'était ironique de dire ça, vu qu'elle avait cramé ma nature de Lycan par mes yeux.

- Je plaide coupable, je suis bien un Lycan. Et toi ? Simple humain ?

Et vas-y qu'on remet un coup, clairement ça allais être ma soirée. Elle était sympa car obligée, mais pouvons-nous appeler ça de la sympathise? C'était quoi alors en temps normal ? Je n'ose même pas imaginer. Puis elle enchaîna, en disant qu'elle n'était pas raciste, mais qu'elle avais eu une mauvaise expérience avec un Lycan, je plains le pauvre Lycan clairement.

Je ne dis rien et me contente de finir mon verre et je constate que la bouteille était vide, avec la descente de Marina, c'est sûr que ça allait vite. J'aurais dû en prendre 2 de bouteilles si j'avais su. Mais bon, vu que je suis d'humeur potable, j'allais en reprendre, pas une, mais deux ça serait beaucoup plus simple. Je fis encore une fois signe à la charmante serveuse pour commander deux autres bouteilles.

Puis elle me demandait ce que je foutais, pour reprendre ces mots, à Osaka et ceux bien sûr sans oubliant les ronces dans ces mots, sinon ce n'était pas elle clairement.

- J'ai atterri pas loin d'ici il y as 300 ans, je m'y trouvais bien et pas d'envie de bouger. Et toi ? Ici par ennui ?

C'était ironique et paradoxal ce qu'elle me faisait éprouver cette fille, d'un côté elle m'énervait et me donnais envie de foutre le camp, mais de l'autre, elle était intrigante et elle avais une certaine sympathie, sans compter qu'elle avais une certaine beauté qui pousserait même un aveugle à se rincer les yeux. Je tendais plus sur l'attirance puis j'avais envie de m'amuser, je suis sur elle me reservais des surprise cette fille.
 

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Ft Marina

Je commençais à m'habituer aux piques de Marina et à ses sourires narquois, s'en était presque attirant. Cela complétait bien sa beauté, d'un côté belle comme une nymphe, mais de l'autre venimeuse comme un serpent. Je souriais à mon tour, elle m'amusait, mais elle ne savait pas dans quels draps elle, c'était fourré ou a qu'elle sauce, j'allais la dévorer.

Elle était choquée que je sois resté à Osaka sans bouger, mais elle ne savais pas que je me faisais une vacance chaque année dans un pays diffèrent, un coin diffèrent. C'était des fois une semaine, un mois ou même une année sabbatique de temps à autre.

- Je vis ici, mais je voyage chaque année, à chaque fois, un pays diffèrent.

Pas besoin de m'étendre plus avec elle pour l'instant. Après ça, elle ce mis un pied sur la table, telle une guerrière des temps anciens, en déclarant qu'elle allait dominer les autres races et en faire sa planète. La petite humaine, malgré son côté irritant, elle était amusante et je ne pouvais pas lui retirer ça. Elle en était presque sympa malgré sa déclaration clairement raciste.

Elle finissait son discours d'extrême droite et vint se rasseoir à mes côtés. Sans surprise, elle sirotait son verre, cela m'aurait étonnée si elle ne l'avait pas fait. Elle me proposait un jeu, naturellement, je fis un soupir et je tournais mes yeux vers le haut. D'un air agacé, mais elle semblais prendre ça pour une réponse, tant mieux ça me faisait économisé de l'oxygène. J'avais l'impression d'être à la maternelle avec son comportement, mais après tout ce soir, c'était du relax, enfin avec Marina, c'était plus un mal de tête relaxant qu'autre chose.

Elle mit une liasse de billets et en prit un billet avant de l'enrouler en boule et m'expliquer les règles, bien sûr avec un langage très fleuri, ça va de soi. Il fallait toucher les fesses de la femme à côté de celle qui dansait pour nous. Assez simple a réalisé. Je pouvais voir sur le sourire de Marina, qu'il y avait une perversion dans ses gestes, là ça me plaisais ce côté de la p'tite bleu.

Elle commençait à faire son premier lancée, ce n'était vraiment pas fameux et je ne savais pas si c'était l'alcool ou elle qui n'était pas douée. Elle s'était même permis d'allez peloté la poitrine de la serveuse, audacieux. Pour son dernier, essaye, elle fermait les yeux et là miracle elle gagnais. Elle devait sûrement prier et les dieux ont entendu le désespoir. Elle avait réussi à toucher les jolies fesses de la danseuse. Marina ne s'était pas aperçus que j'avais touché trois fois la cible et cela expliquais l'étonnement de la danseuse quand c'était elle qui avais enfin finis par y parvenir.

J'allais pour déclarer ma victoire, mais elle pris les devant et elle était fière d'elle. Je n'allais pas lui enlever son moment de gloire. Après tout, je préfère qu'elle fête ça plutôt qu'une suprématie humaine.

J'entendis qu'elle m'appelait, d'une voix suave, comment elle avait deviné mon point faible ? Je me tournais vers elle, presque surpris de la douceur dont elle pouvait faire preuve. Elle en rajoutait une couche en se mettant à quatre pattes et en se rapprochant de moi. Elle savait parfaitement jouer de ses arguments et moi, j'étais très réceptif à ça. Et vas-y qu'elle cette colle à moi, une vrai chaudasse et ses lèvres à quelques centimètres de moi. Je devais résister, sinon celui qui passais à la casserole, c'était moi et je me serrais fait plumé comme un bleu.

Elle m'annonçait le pris de l'entrée de la zone V.I.P, cinquante pièces d'or. Ce n'était même pas un centième de mon salaire horaire. Je me retenais d'avoir un fou rire. Elle me prenait pour qui elle ? Un petit avocat de bas étage ? J'avais quasiment 300 ans d'expérience et j'étais très économe, donc l'argent était un de mes plus grands atouts. Sans compté que j'était un des meilleurs avocats d'Osaka.

- Cinquante pièces d'or ? Hmmm

Je sortis mon portefeuille, remplis de billet qui équivalait chacun à 10.000 pièces d'or et je faisais glisser dans le vêtement Marina. En la regardant, cette fois, c'est moi qui avais le regard narquois, saupoudrée d'une petite touche d'arrogance.

- Cela devrait te suffire non?

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Ft Marina

Dé que j'avais sorti les billets, elle s'était jetée dessus, je savais qu'il y avait des femmes comme ça qui existait mais je ne pensais pas tomber sur ce genre ce soir, ça me fait de l'expérience au pire. C'est comment qu'on appelait ça déjà? Ah oui, les Sugar Baby. Heureusement que les finances c'est pas du tout un soucis, sinon j'aurais eu l'air très con.

Elle me serre contre sa poitrine, relève ma frange et m'embrasse sur le front. Une femme conquis clairement, elle qui plutôt était acide, toxique et globalement négative, tout avais changé en instant, tel est le pouvoir de l'argent. Je voyais dans son regard une certaine joie, mais son alcoolémie se voyait aussi cela dit. Je me contentais de lui sourire, je me rendais aussi compte qu'elle aboyais beaucoup pour pas mordre au final. Elle me disait qu'on allait bien s'amuser elle et moi, oh ça j'y comptais bien.

Elle décrocherait ses doigts avec les miens pour m'emmener dans la chambre des plaisirs avec la renarde. Décidément elle était enthousiaste et c'était tout sauf gênant puisque sa main avait une certaine douceur. Cela allait encore plus loin, quand elle me prit par le bras et se blottit à mon épaule. Tout ça pour de l'argent, les femmes n'arrêtons jamais de me surprendre clairement. Bien évidemment elle a repris deux bouteilles de champagne, sinon c'était pas drôle mais allais-je vraiment me plaindre? Au diable non que j'allais pas me plaindre. Au point où j'en étais, une bouteille de plus, une de moins, j'étais plus à ça prêt.

On pénétrait dans la pièce, recouverte de velours et avec une lumière mauve. Rien que ça, ça transpire l'érotisme et j'adore ça. Petite note de course, acheté le même velours et lumière mauve, je sais quel pièce pourrait avoir besoin de ça. Je repris à observer la pièce et mes yeux se posaient sur un lit au milieu, avec de très joli drapé rouge et des coussins en forme de cœur.  Un sofa contre le mur qui donnait une jolie vue à une barre de pole dance et juste devant le sofa, les deux bouteilles de champagne, le service est rapide ici et en plus dans leurs seaux de glaçon.

On s'installe dans le sofa, Marina avait les jambes croisées, je n'avais pas remarqué qu'elle avait de très jolies jambes. L'envie de les caresser était forte mais il était un peu tôt pour ça. D'un ton direct, elle ordonna à la fille de danser, elle ne perdait pas de temps. Je m'installais confortablement, en levant le bras en arrière pour mettre une main derrière le cou de Marina, les jambes croisées et une cigarette de sortie, que j'allumais puis je sortais une autre cigarette, je savais que ma compagne du soir en voudrais une.

La danse de la demoiselle était très sensuel et érotique, elle savais créer un désir, une frustration aussi dans un sens aussi. Marina nous servait un verre et trinquer avec moi.

- A nous deux

Dis-je avec un sourire malicieux, avec tout l'alcool qu'elle avait bu et continuerais à boire, ce n'était plus moi la proie mais bien elle. Après qu'on a trinqué, c'était elle qui avait mis son bras autour du mien, audacieux de sa part. Elle repris ensuite avec les piques, ça ne m'avait clairement pas manqué.

- Qui te dis que c'est pas moi qui t'es laissé gagné?

Après tout, c'était la vérité, je l'avais laissé gagné car il fallait bien qu'elle savoure une victoire de temps à autre non? Mais mes paroles semblaient être étouffées par le flux de parole de Marina, ça m'étonnais même plus. Elle me parlait de l'Angleterre, sûrement son pays j'imagine puis de l'île au fées. Intéressant, je n'y étais jamais allé mais l'envie avait toujours été là.

- Bien sur que je suis allez en Angleterre, j'ai fui Londres comme la peste, l'odeur était insupportable je préférais Newcastle ou Liverpool.

Elle était prête à réaliser tous mes désirs j'avais un moyen de lui permettre d'accéder à l'île au fées. C'est bon, je la tenais en laisse, elle était ma proie, à ma merci. La danseuse venait me frotter à moi, elle savait y faire, entre ses fesses bien fermes qui se baladais sur mes jambes, sa poitrine douce et opulente qui se balançait au rythme de ses mouvements.

- J'ai bien entendu? Tous mes désirs? Il se trouve que j'ai des contacts là- bas, après tout, je ne suis pas si inutile que ça, non?

Je ne pensais pas que d'avoir une femme à mes pieds, prête à tout pour obtenir ce qu'elle veux était si excitant et plaisant.

Elle posait ma tête sur mon torse, il y avait clairement pas plus aguicheuse qu'elle. elle dessinait des cercles sur mon torse et envisageait un plan à trois. Il y as encore une femme, jamais je n'aurais pensé couché avec une femme, encore moins avoir un plan à trois et une semaine plus tard j'avais déjà couché avec quelques femmes et me voila face à un potentiel plan à trois, la vie me souriais clairement.

Je décidais de ne pas lui répondre pour l'instant, mais simplement de caresser sa jambe, l'envie était devenue insoutenable depuis tout à l'heure. Les lèvres de Marina me faisaient envie aussi et de manière plus ample, elle m'attirait sans l'ombre d'un doute.

- C'est pas quelque chose dont j'ai eut l'occasion de faire, mais je suis sur que tu vas me le permettre, non?

Cette fois je ne lui laissais pas le temps de répondre et je venais de l'embrasser. Un simple baisé volé, pour lui donnez un avant goût de ce qui l'attendait plus tard. Mon pantalon commençait clairement à devenir serré au vu de ce qui était en train de se préparer pour le reste de la soirée.

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Elle était très enthousiaste, même un peu trop, au point d'avoir sorti un carnet pour prendre des notes. Marina semblait très enthousiaste à l'idée d'avoir des infos sur l'iles de fées, je comptais bien lui donné mais j'allais surtout en profité de cette situation et la gêne allait être le dernier de mes soucis.

Elle répondit à ce baiser avec grand entrain, ces mordillements sur mes lèvres me rendaient fou. Elle n'était peut être pas la plus sympa ou la personne la plus agréable avec qui partager une compagnie, mais ce soir elle était la plus désirable, l'envie de la plaquer contre le canapé et en faire ce que je voulais était très tentante.  Je fut interrompus dans ce train de penser, quand elle brisa le baisé et avec la plus grande des classes et d'une finesse elle m'annonçait qu'elle allait au toilettes.

Cela cassait un peu l'ambiance mais j'était consolé par la danseuse, qui se trémousse de plus belles sur mes cuisses et ça maintenait mon excite avec une certaine tension, tension qui se ressentait au niveau de mon entre-jambe. J'avais presque envie d'abandonner Marina  pour la danseuse, qui semblait très encline à aller plus loin. Qu'est ce qui était mieux? S'envoyer en l'air avec elle ou attendre notre chez princesse Marina et s'envoyer en l'air avec les deux. La deuxième option était plus tentante, deux femmes pour deux fois plus de plaisir.

Je laissais mes mains balader sur le fessier de la renarde, c'était d'une douceur inouï, une perle rare clairement.  De son fessier ça allait à sa poitrine, grande douceur là aussi. Difficile de lui résister. On fut interrompu par Marina qui revenait, toute fraîche d'un coup mais toujours autant alcoolisé, c'était impressionnant la quantité qu'elle avait ingéré pour une simple humaine. Bien évidemment elle a repris un verre de champagne, bah oui, sinon c'est Marina Heartwood! Cash comme à son habitude, elle me demandais si je m'amusais avec madame la renarde. Je voulais lui répondre qu'elle me dérangeait mais ça aurait ruiné cette occasion d'une pierre deux coups, donc j'allais bien gentiment gardé ça pour moi.

- Bien sûr, on t'attendais pour passer à l'étape suivante.

Elle était excitée et jouait clairement avec un homme, elle retirait ses talons et venais jouer avec mon entrejambe en utilisant ses petits pieds. Oh la petite salope, elle voulait jouer à ça? Et bien sûr, quelle indignité, elle croisait et décroisait ses jambes, pour me laisser entrevoir ce qu'elle portait en dessous. Si c'est pas une allumeuse ça, je ne sais plus qui je suis, le pape peut être.

Marina, ressortait son carnet et retournait à l'attaque, elle ne démordait pas. Bon, j'acceptais de lui révéler mes secrets, après tout elle allait exaucer tous mes vœux, je pouvais bien lui accorder ça.

- Des clients très importants on un pied à terre la bas, j'ai qu'un coup de fil à passé et je peux leurs réservé une maison, ils me doivent bien ça après tout. Qu'en dis tu?

Je caressais les jambes de Marina, avec le regard d'un chasseur, prêt à dévorer sa proie, elle était à ma merci désormais. Je me servais à nouveau un verre, que je sirotais silencieusement, le temps que l'info monte au cerveau de Marina et qu'elle comprenne qu'elle n'avait plus la dominance de la situation. J'allais profiter d'elle et je comptais pas me retenir, clairement pas. Mes caresses se faisaient avec une certaine lenteur, des vas et viens le long de ses jambes. Un instant plus tard, je la tirais vers moi, par son décolleté, pour venir l'embrasser, cette fois pas pour lui voler un baisé, mais plus pour aller explorer cet érotisme dont elle usait comme aura. Il fallait être aveugle pour ne pas le voir, malgré le fait que sa personnalité soit insipide, elle avait tout pour plaire et elle était très désirable.

Mes mains allaient toutes sous le haut de Marina pour aller chercher sa poitrine, j'allais clairement pas me gêner et au point où j'en étais, au diable les morales. Je la voulais et j'allais l'avoir.  Je brisais lentement ce baiser, remplis de désir et d'envie charnel.

- Tout mes souhaits tu dis? J'attend de voir ça

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Je n'avais pas remarqué qu'elle avais ouverte à moitié ça chemise, ce qui révélais un peu plus de son corps, d'un blanc pur qui allais en contraste avec ça personnalité qui était tout autre que pur. Comme une innocence teinté de perversion, dépravation, haine et acide. Marina était tel un serpent, prêt à bondir et à mordre pour relâcher un venin ou alors attendre que ça proie soit endormi pour s'enrouler autour de son cou. Il y avait une certaine beauté dans la toxicité dont elle faisait preuve, une sorte de tentation et de péché, de douleur qui était aimante, piquante mais aussi jouissive.  J'étais un sacré masochiste quand même pour être attiré par tout ça, mais telle était la magie de cette sorcière, de mes cauchemars les plus profonds et de mes désirs les plus enfouis et cachés.

Je savais très bien que c'était mal, absolument pas conseillé et que ça allait faire mal tout ça, mais non, je me suis jeté avec grande envie dans la gueule du loup, ironique pour un loup de faire ça quand même.

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