Le Dock de stockage est vôtre, avec surprise !
Alors qu'elle finissait le ménage chez une cliente très aigri, la Russe resté polie et souriante, malgré les insultes que la jeune femme pouvait recevoir sur son physique. Certains humains avaient du mal, puis ici, c'était sûrement plus dû à l'âge sénile de la petite vieille. En soit, Ioenna lui en voulait pas du tout, sachant très bien que celle-ci était très malade, et n'avait déjà plus aucune famille qui venait. C'était un peu la seule visite qu'elle avait : cette petite femme de ménage.
Alors, les insultes et la folie, elle passait outre. Entre un vrai, dur et réel, et une folle... Nah, elle faisait la différence, la petite vieille n'avait juste plus aucun moyen d'expression. Alors, notre Ondine ne pouvait que lui offrir sa bonne humeur, ses services et sa patience.
Et comme souvent, avant de partir, elle l'aidait à finir son repas, en essuyant un peu ses lèvres, sans jamais rien dire, même au crachat qu'elle devait nettoyer. Tout sourire, c'était sa seule “amie”, compagnie. C'était un rôle difficile, broyant, mais elle le faisait : car n'importe qui d'innocents pouvait avoir le droit à une main tendue.
Mais cela n'empêcha pas à la fin de son service, habillé de ses vêtements de cuirs, d'enfourcher en râlant sa bécane et tout partit à toutes vitesses vers les docs, oubliant de respecter les limitations de vitesse. Pas envie, plus envie de l'effort. Foutez-lui la paix, les panneaux !
Naviguant avec aisance, la dame bleue arriva à son arrêt, loi de la vie et la civilisation. Après tout, pourquoi leur montrer la douleur et la colère ? Car ici, c'était son coin à elle : c'était pour gueuler. D'ailleurs, y'avait un petit tag avec une gueule de poisson sur le container pas loin, qui littéralement semblait dire “Mine part, go away !”.
Descendant de sa machine après l'avoir sécurisé, et s'approchait du bord, elle se mit à hurler à plein poumon, un millier de choses en Russes. Oh, pour sûr que c'étaient des insultes terribles et déboulasses à faire saigner les oreilles des pauvres petites croyantes dans leurs églises ! Mais ça faisait un bien fou de vider la rage !
Et une fois fait, elle jetait le surplus de vêtement sans aucune délicatesse, pour se trouver en sous-vêtement et se jeter à l'eau avec un grand cri de joie et de libération.
Et hop, voilà l'Ondine qui se mit à nager et à profiter de l'eau, son élément. Revigorant ses sens, ses envies, la calmant un peu aussi. Même si, clairement, elle chassait le poisson pour l'emmerder, s'amusait à enchaîner les combos sous l'eau d'art martial à répétition contre un ennemie imaginaire, riant, avant de nager plus loin. Vive la respiration sous-marine.
Rapide, elle dépensait son surplus d'énergie d'une manière la moins négative pour la société ! Puis elle croqua un poisson trop proche par réflexe de défense, le coupant en deux. Un peu honteuse, elle fit une mini prière.
Puis elle repartit pour un tour.
Quelques minutes de plus, puis elle finit par ressortir, ressourcés, se secouant comme un petit chien en riant de sa connerie, retrouvant son immense sourire. Ioenna ramassa ses fringues de manières négligées avant de sortir une cigarette d'une poche et de l'allumer, prenant dans le petit coffre de la moto une serviette pour se sécher au mieux, et profitant du vent frais du soir.
Ça faisait du bien, de vider. Mais elle était proche de sa batte, accrocher sur le côté de la bécane. Après tout, on sait jamais quand des gens mal intentionné peuvent se pointer. Puis elle a ses dents, et elle est prête à mordre fort s'il faut !
Alors, les insultes et la folie, elle passait outre. Entre un vrai, dur et réel, et une folle... Nah, elle faisait la différence, la petite vieille n'avait juste plus aucun moyen d'expression. Alors, notre Ondine ne pouvait que lui offrir sa bonne humeur, ses services et sa patience.
Et comme souvent, avant de partir, elle l'aidait à finir son repas, en essuyant un peu ses lèvres, sans jamais rien dire, même au crachat qu'elle devait nettoyer. Tout sourire, c'était sa seule “amie”, compagnie. C'était un rôle difficile, broyant, mais elle le faisait : car n'importe qui d'innocents pouvait avoir le droit à une main tendue.
Mais cela n'empêcha pas à la fin de son service, habillé de ses vêtements de cuirs, d'enfourcher en râlant sa bécane et tout partit à toutes vitesses vers les docs, oubliant de respecter les limitations de vitesse. Pas envie, plus envie de l'effort. Foutez-lui la paix, les panneaux !
Naviguant avec aisance, la dame bleue arriva à son arrêt, loi de la vie et la civilisation. Après tout, pourquoi leur montrer la douleur et la colère ? Car ici, c'était son coin à elle : c'était pour gueuler. D'ailleurs, y'avait un petit tag avec une gueule de poisson sur le container pas loin, qui littéralement semblait dire “Mine part, go away !”.
Descendant de sa machine après l'avoir sécurisé, et s'approchait du bord, elle se mit à hurler à plein poumon, un millier de choses en Russes. Oh, pour sûr que c'étaient des insultes terribles et déboulasses à faire saigner les oreilles des pauvres petites croyantes dans leurs églises ! Mais ça faisait un bien fou de vider la rage !
Et une fois fait, elle jetait le surplus de vêtement sans aucune délicatesse, pour se trouver en sous-vêtement et se jeter à l'eau avec un grand cri de joie et de libération.
“F*CK YEAAAAAAAAAAAAAAH !”
Et hop, voilà l'Ondine qui se mit à nager et à profiter de l'eau, son élément. Revigorant ses sens, ses envies, la calmant un peu aussi. Même si, clairement, elle chassait le poisson pour l'emmerder, s'amusait à enchaîner les combos sous l'eau d'art martial à répétition contre un ennemie imaginaire, riant, avant de nager plus loin. Vive la respiration sous-marine.
Rapide, elle dépensait son surplus d'énergie d'une manière la moins négative pour la société ! Puis elle croqua un poisson trop proche par réflexe de défense, le coupant en deux. Un peu honteuse, elle fit une mini prière.
“Fallait pas s'foutre là, débile ! Pardon, mais t'es con.” Avec un accent fort Russe.
Puis elle repartit pour un tour.
Quelques minutes de plus, puis elle finit par ressortir, ressourcés, se secouant comme un petit chien en riant de sa connerie, retrouvant son immense sourire. Ioenna ramassa ses fringues de manières négligées avant de sortir une cigarette d'une poche et de l'allumer, prenant dans le petit coffre de la moto une serviette pour se sécher au mieux, et profitant du vent frais du soir.
Ça faisait du bien, de vider. Mais elle était proche de sa batte, accrocher sur le côté de la bécane. Après tout, on sait jamais quand des gens mal intentionné peuvent se pointer. Puis elle a ses dents, et elle est prête à mordre fort s'il faut !
Codage par Libella sur Graphiorum