Depuis que je les ai rentrer ces deux la je pouvais très bien dire que je m’amusais comme une folle. Ils étaient si mignon... Gentaro et Shotaro.. Mes mignons et adorables amants. Ils étaient si parfaits... Ils semblaient me comprendre sans que je n’ai a dire quoi que se soit. Ils étaient si... Aaaah... Comment dire. Ils me rendaient heureuse.




Attendez une minute... Heureuse?... Mais... Non... ? Pourquoi quand je les regardais mon coeur s’emballait comme cela.? Je ne pouvais pas les aimer... Non ce n’était pas une bonne chose. Ils m’offraient tous les deux beaucoup de plaisir. On baisaient comme des bêtes à chaque occasion qu’on avait mais les sentiments... ce n’était pas une bonne chose. Pas pour moi. Je ne pouvais pas avoir une faiblesse... Ou deux faiblesses...





Je restait malgré tout avec eux encore. Je n’arrivais pas à me décider. Shota... Ce si beau et tendre Shota... Il me faisait vraiment chaviré.... Shota était mon préféré entre les deux frères et je commençais à avoir peur de le perdre. STOOOPPP. Mais c’est quoi cette merde? Avoir peur... MOI! La démone qui massacrais tout ce que je voulais sans avoir la moindre hésitation et le moindre regret?





Il y avait clairement quelque chose qui clochait la. Après tout ce temps passait avec eux j,avais peur de les.. perdres... Beurk... Ça me donnait envie de vomir... les sentiments ce n’étaient que pour les faibles et les créatures fragiles comme les humains ou les trucs fragiles... Pas pour moi.!





Nous nous étions arrêtés dans une forêt tranquille afin de pouvoir nous reposer, manger et... baiser bien sur.. comment bien finir une journée avec une bonne vieille partie de jambes en l’air. Pour bien faire circuler le sang bien entendue... Faire un peu d’exercice avant de dormir ça aidait non? Gentaro avait donc fait un feu alors que la tente qui nous serviraient fut monter. J’étais assise devant les flamme, silencieuse pour une rare fois. Je devais dire que depuis que j’avais pris conscience de ce problème sentimentale pourri j’étais étrangement calme. Je ne parlais plus beaucoup mais je me plongeais tellement souvent dans mes réflexions que je ne faisait pas vraiment attention. Je devais tout faire pour trouver un moyen d’arrêter ces sentiments dégoûtants de grandir en moi... sinon je ne pourrais pas faire autrement que de..... partir?