La journée avait été plus que profitable. Grâce à un heureux concours de circonstance, Mia avait réussi à trouver un petit boulot pour quelques heures dans une combinie. Elle avait aidé le gérant est rentré les commandes et faire l’inventaire alors qu’un de ses employés s’était malheureusement absenté.
Bref, Mia avait fait quelques Yens bien mériter et en était plus qu’heureuse. Grâce à cet apport en argent, elle pourrait se nourrir et se loger pour quelques jours. C’est donc avec le cœur léger qu’elle avait marché plusieurs kilomètres pour se rendre dans un des cybercafés qu’elle connaissait. Ces endroits étaient des oasis qui lui permettaient de dormir en toute sécurité et d'avoir accès à diverses commodités le temps d’une nuit. Moins cher qu’un hôtel, l’hybride panthère se payait parfois le luxe de louer une salle.
Ainsi, une fois arrivée, elle paya son double cubicule pour pouvoir avoir suffisamment de place pour s’étendre, puis la sans-abri se dirigea vers son endroit attitré, dernière salle disponible. Un pas après l’autre, Mia arriva finalement devant la cabine numéro 213. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle ouvrit la porte pour y trouver une magnifique jeune femme aux oreilles de renard.
Ébahie, dans l’incompréhension totale, Mia se dit qu’elle avait peut-être pris la mauvaise cabine, mais un rapide coup d’œil lui confirma que c’était bien la 213.
-hum…bonjour, c’est bien la 213?
La panthère était mal à l'aise pour déranger ainsi la dame qui semblait occupée, mais Mia refusait de renoncer à sa nuit dans un minimum de confort. Pourtant, elle n’avait pas grand-chose pour s’interposer face à cette étrangère qui pouvait facilement deviner son statut social de SDF.
Effectivement, les vêtements de la pauvre Mia étaient raccommodés à plusieurs endroits, certains étaient trop grands et l’usure de ses souliers ne laissait aucun doute sur le fait que la demoiselle était trop pauvre pour prendre les transports en commun. Son sac en bandoulière semblait contenir tous ses effets personnels. Il ne fallait pas un sens accru de l’observation pour comprendre la situation de la jeune femme.
De plus, son non verbal en disait long. La tête baissée, le regard fuyant. Mia semblait prête à bondir pour fuir en cas de danger, chose étrange pour une hybride prédatrice. Pourtant, elle avait plus qu’à son tour la proie de son illettrisme et de sa stupidité.
Bref, Mia avait fait quelques Yens bien mériter et en était plus qu’heureuse. Grâce à cet apport en argent, elle pourrait se nourrir et se loger pour quelques jours. C’est donc avec le cœur léger qu’elle avait marché plusieurs kilomètres pour se rendre dans un des cybercafés qu’elle connaissait. Ces endroits étaient des oasis qui lui permettaient de dormir en toute sécurité et d'avoir accès à diverses commodités le temps d’une nuit. Moins cher qu’un hôtel, l’hybride panthère se payait parfois le luxe de louer une salle.
Ainsi, une fois arrivée, elle paya son double cubicule pour pouvoir avoir suffisamment de place pour s’étendre, puis la sans-abri se dirigea vers son endroit attitré, dernière salle disponible. Un pas après l’autre, Mia arriva finalement devant la cabine numéro 213. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle ouvrit la porte pour y trouver une magnifique jeune femme aux oreilles de renard.
Ébahie, dans l’incompréhension totale, Mia se dit qu’elle avait peut-être pris la mauvaise cabine, mais un rapide coup d’œil lui confirma que c’était bien la 213.
-hum…bonjour, c’est bien la 213?
La panthère était mal à l'aise pour déranger ainsi la dame qui semblait occupée, mais Mia refusait de renoncer à sa nuit dans un minimum de confort. Pourtant, elle n’avait pas grand-chose pour s’interposer face à cette étrangère qui pouvait facilement deviner son statut social de SDF.
Effectivement, les vêtements de la pauvre Mia étaient raccommodés à plusieurs endroits, certains étaient trop grands et l’usure de ses souliers ne laissait aucun doute sur le fait que la demoiselle était trop pauvre pour prendre les transports en commun. Son sac en bandoulière semblait contenir tous ses effets personnels. Il ne fallait pas un sens accru de l’observation pour comprendre la situation de la jeune femme.
De plus, son non verbal en disait long. La tête baissée, le regard fuyant. Mia semblait prête à bondir pour fuir en cas de danger, chose étrange pour une hybride prédatrice. Pourtant, elle avait plus qu’à son tour la proie de son illettrisme et de sa stupidité.