À peine arrivée et te voilà déjà bien débordée… Tu avais pourtant quelques années d’expérience en tant que professeur, mais arriver dans une nouvelle école n’est jamais évident entre la connaissance des élèves, rencontrer tes nouveaux collègues, préparer un premier cours intéressant, et tellement d'autres choses que tu n’à pas le temps de citer dans ta petite tête… Car par la présente, tu es en retard, c’est ça d'être un chat…. ne pas supporter le réveil et se rendormir après celui-ci et bien entendu ne pas entendre les trois réveil suivant et ne comprendre qu’au bout de la quatrième sonnerie que tu dois te lever. Enfin bref… Même pas le temps de te prendre une douche, tu fonce dans la salle de bain en chopant au passage les vêtements que tu avais prévu de mettre aujourd’hui, à peine arriver dans la salle de bain que tu prend ton dentifrice, ta brosse à dent et ta brosse à cheveux… Cela aurait été plus… simple de ne pas mettre le dentifrice sur ta brosse à cheveux et ta brosse à dent dans tes cheveux. Tu râle et nettoie vite tes bêtises avant de réussir enfin à coiffer tes cheveux en te brossant les dents de l’autre main.

Après avoir réussi à améliorer ta face, tu enfiles rapidement ton jean noir et le débardeur que tu avais prévu de mettre, rapidement, tu viens maquiller tes yeux avec un jolie liner dans une forme rappelant bien tes origine égyptienne, un peu de mascara et te voila prête. Tu cours attraper tes bottes ainsi qu’une paire de chaussette que tu enfile en descendant les escaliers, oui cela pourrait être une mauvaise idée, mais connaissez vous l’agilité d’un chat. Tu cours à la porte en attrapant ton casque et tes clés avant de sortir rapidement, fermant bien la porte à clé avant de littéralement sauter sur ta moto en enfilant ton casque, démarrer et foncer au lycée. Bien entendu, tu fais attention sur la route: il vaut mieux arriver avec cinq minutes de retard que de finir dans un lit d'hôpital ou même pire, dans un cercueil.

Enfin, te voilà pied à terre, tu ne prends même pas le temps de retirer ton casque que tu cours déjà vers la salle des professeurs afin d’y récupérer tes affaires préparer il y à quelques jours en prévoyance de ta petite tête en l’air. Tu attrapes tes affaires sur ton bureau avant de jeter un œil à ton emploi du temps… Et là c'est le drame. Tu t'effondres dans ta chaise en voyant que tu n’à cours que dans trois heures avec ta classe… Tu avais mal lu ton emploi du temps et tu avais confondu deux jours. Tu soupire et grogne. Fais chier, tu aurais pu dormir encore un moment.

Ta tête tombe en arrière alors que tu es dépité, soupirant alors que tu repenses à ton lit douillet que tu as dû abandonner à contre-coeur. Tu finis par te lever, autant en profiter pour boire un café et te poser, et potentiellement réfléchir à ton premier cours. Tu n’à toujours pas retiré ton casque… Tu l'as presque oublié. Tu arrives dans la salle de pause, avant de capter que ta tête est lourde… et oui c’est pas un poid plume un casque de moto. Alors, tu commences à retirer le casque, laissant tes cheveux mi-long tomber sur tes épaules alors que tu secoues la tête pour te “recoiffer” un peu, n’ayant pas vu la personne dans la salle.

Tu soupire avant d’ouvrir les yeux en secouant encore un peu la tête et vois le jeune homme, tu rougi très légèrement avant de sourire et le regarder, inclinant légèrement la tête en t’avançant vers la machine à café, prenant une tasse pour te servir et souffle un coup avant d’approcher de ce qui semble être un de tes collègues.

“Bonjour ! Je m’appelle Sohan, je suis la nouvelle professeur d’art ! Enchanté !”

Simple, efficace et pas cher… Bon Okay j’arrête avec mes phrases toutes faites sinon on est pas sortie de l’auberge. Tu souris alors et le regarde un peu, il est plutôt mignon et à l’air assez sérieux, tu as comme l’impression que c’est un des rares professeurs avec qui tu n’auras pas à devoir veiller au moindre regard pervers ou aguicheur. Cela te rassure quand même de savoir qu’il n’y à pas que des personnes présente pour profiter des plaisirs dévergondés qui peuvent être appris ici.

“Je peux m'asseoir avec vous ?”

© MissKat pour Epicode

L’egypte te manque parfois… mais seulement quelques fois avant de te souvenir de ta vie là-bas… de cette maudite famille qui ne t’avais jamais accepter, bon à l’heure qu’il est, ils sont tous six pied sous terre, après tout, 200 ans se sont écouler et à part ton très cher papa ainsi que tes grand parent partenelle, personne n'avait la possibilité de vivre aussi longtemps que toi. Mais… Ton père tu n’avais jamais su ou il était passer, tu aurez aimer lui demander pourquoi il t’avait abandonné ou pourquoi il avait disparu du jour au lendemain, te laissant dans cette famille de merde.

Enfin bref, pourquoi divaguons-nous toujours aussi facilement du sujet principal ? Bref, nous disions donc, malgré une vie misérable auprès de ta chère famille maternelle, tu n’avais pas oublié tes origines, et de toute manière, ton physique ne pouvait que te le rappeler, et tu es fière de représenter de part ta beauté ton cher pays, bien que tu ne te trouve pas aussi belle que tu ne le laisse entendre, tu savais très bien que tu as ton charme bien à toi, que tu avais fais tourner bien des têtes durant ces dernière centaines d’années. Tu sais jouer de tes charmes, tu sais jouer de tes atouts et tu sais aussi les cacher quand il le faut. Mais maintenant que tu était accepté dans ces établissement en tant que Professeur, tu ne te sentais que légitime à te montrer tel que tu es et ne pas te privé à te sentir belle dans ton attitude.

Te voilà arrivé au lycée d’ailleurs, presser comme si tu venais de rater le dernier bus en direction de la maison un soir d’hiver, tu fonce dans la salle des profs pour y chopper ton cours préparer à l’avance pour ton premier cours… avant de te rendre compte que tu n’es pas en retard mais en avance de plusieurs heures. Tombant sur ta chaise, portant encore ton casque, tu pestes dans ton coin, la queue totalement ébouriffée de colère. Tu grogne un peu avant de te lever, au moins tu allais pouvoir boire un café et fignoler ton cours avant de rencontrer tes élèves. Tu te relève en direction de la salle de pause, retirant enfin ton casque en secouant la tête pour laisser tes cheveux retomber sur tes épaules avant de remarquer la présence d’un autre professeur, souriante tu viens alors te présenter comme étant la nouvelle professeur d’art. Sous l’air un peu bouche bée et déconcerté de ton interlocuteur, tu attends quelques secondes avant qu’il ne se présente à son tour, Riku Kazama, professeur d’histoire-géo. En le détaillant un peu, tu remarquera qu’il à l’allure d’un prof d’histoire-géo, oui c’est cliché mais mignon.

Tu ris un peu en le voyant loupé deux fois l’encoche pour faire tomber sa pièce dans le distributeur, avant de réussir à faire couler son thé, à sa suite, tu viens faire couler un café en souriant, alors qu’il commence à te faire la conversation. Tu te sens alors heureuse d’avoir un collègue qui ne va pas te laisser dans un blanc génant sans aucun bruit à part quelques raclement de gorge ou des doigts tapotant la table de pause. Tu viens donc t’asseoir face à lui, tasse en main et lui sourit largement.

“Oui c’est ma première journée et j’étais persuadé d'être en retard… Alors que j’ai trois heures d’avance haha ! J’ai mal regardé mon emploi du temps hier soir !” un petit rire s’échappe de tes lèvres avant de reprendre: “J’avoue n’avoir visité qu’une fois avec le proviseur adjoint, mais je sens que je vais avoir un peu de mal les premiers jours ! Cela viendra bien assez vite !”

Doucement, ta main vient porter ta tasse à tes lèvres, laissant le liquide chaud au goût amer et fort glisser dans ta gorge, se finissant par un léger “aahh” de satisfaction après avoir dégluti. Tu regardes alors Riku, le détaillant un peu, des cheveux d’un bleu nuit sombre, de beaux yeux bleu, une tenue des plus classique mais apportant un certain charme à ce visage fin et légèrement carré. Tu reviens poster ton regard dans le sien et viens à ton tour demander:

“Et vous Riku ? Vous enseignez ici depuis longtemps ? Hum… puis-je vous proposer de se tutoyez ? Nous allons être amenés à nous voir souvent et à sans doute discuter aussi ! Cela serait plus agréable de se tutoyez vous ne croyez pas ?”

En attendant sa réponse, tu reviens prendre une gorgée de ta boisson chaude en le regardant dans les yeux avec toujours le même sourire.

© MissKat pour Epicode

Un nouveau boulot n’est jamais trop facile à prendre en main et encore plus lorsqu’on se rend compte qu’on à mal lu son emploi du temps par stress de la première journée. Tu te serais bien passer de cela pour le coup et tu aurais largement préféré rester emmitouflé dans ta couette confortablement installée dans ton lit moelleux et doux… Mais en y repensant, si tu ne t’étais pas trompé tu aurais sans doute pas rencontrer Riku, du moins pas pour le moment et malgré ce réveil en tombe, son sourire te réchauffe doucement les joues alors que tu te rend compte qu’il n’est vraiment pas méchant, bien que tu sois de nature méfiante avec la gente masculine, le jeune professeur as très rapidement réussi à te mettre à l’aise, comme une aura naturellement douce et apaisante.

Enfin bref, après avoir laisser couler le liquide chaud qu’est ton café matinal, d’un pas félin et silencieux, tu t’assois près de ton collègue avec qui la conversation allait sans doute être très intéressante. Ta main levant doucement la tasse au niveau de tes lèvres après avoir parler, laissant ton collègue te répondre de sa voix tout aussi douce que son aura, laissant ton café couler le long de ta gorge, réchauffant ton petit corps dès bien assez chaud de par tes deux races assez… chaude~. Enfin bref, la n’est pas le sujet. Riku répondant par une douceur adorable, tu l'écoutes en le regardant dans les yeux, laissant ta queue onduler dans ton dos et tes oreilles félines frétillant un peu par moment, un peu comme un réflexe de corps incontrôlable. Ton buste s’incline légèrement lorsque le jeune homme te propose son aide si tu en as besoin un jour, le remerciant alors doucement par ce geste ainsi qu’un joli petit sourire.

Alors que le brun t’explique qu’il aurait bien aimer qu’on l’aide tels qu’il te propose son aide à présent lorsqu’il est arrivé, il en vient à parler de son programme, demandant alors s’il avait la possibilité de te solliciter en cas de besoin, l’histoire et l’art étant assez lié en fin de compte, alors un large sourire se forme sur tes lèvres alors que tu repose ta tasse de café sur le bord de la table, la tenant toujours d’une main et répond de ta jolie voix féline:

“Mais avec plaisir ! Nous pourrions aussi totalement faire des projets en coopération ! Des exposés que nous pourrions lié ! J’avoue être passionné d’histoire de mon côté, j’ai bien failli finir professeur d’histoire aussi, mais l’art à toujours été mon plus grand atout, même si je n’ai jamais réussi à me faire exposer.”

Ton sourire ne cesse d'être présent sur ton visage, tu ris à sa dernière question.

“Hummmm… et bien quel âge me donnerais-tu déjà ? Et à ton avis depuis combien de temps je pourrais être professeur~ “

Tu aimes les devinettes.. bon celle-la en particulier car en général les gens te rajeunissent et ne parviennent jamais à deviner que tu as plus de 200 ans, après tout, tu n’à pas pris une ride depuis tes 20 ans. Tu le regardais alors dans les yeux, tes coudes venant se poser sur la table alors que ton menton rencontre tes mains, ta queue ondulant encore plus dans l’air derrière toi, un sourire amusé aux lèvres.

© MissKat pour Epicode

La réponse de ton collègue ne peut que te réjouir de nouveau alors qu’il accepte avec plaisir de faire équipe sur certain projet qui pourrait être intéressant autant pour vous que pour vos élèves, tu as déjà hâte de trouver votre première collaboration ! Tu lui souris de nouveau, vraiment ravi de cette rencontre, ta tasse venant de nouveau embrasser tes lèvres, enfin plutôt l’inverse pour la coup, tu laisse le liquide chaud glisser de nouveau entre tes lèvres… Bon dis comme cela on peut vite sortir de son contexte cette phrase pour en faire quelque chose de sale et pervers, mais bon, ce n’est pas comme si cela allait te déranger, après tout, Riku est mignon, si tu pouvais en croquer un bout tu ne dirais pas non, mais cela n’à pas l’air d’etre le genre de jeune homme à se laisser charmer ainsi et encore moins à se faire sauter dessus en pleine salle de pause ! Et puis… ça te ferait du bien d’avoir un ami avec qui tu ne couches pas forcément, n’est-ce pas Sohan ? Enfin bref, tu le regardes alors qu’il te pose la question ultime: pourquoi n’avoir jamais été exposé.

“Ho… Et bien… disons que mes œuvres personnelles ne sont pas très… Conventionnel ? Oui on va dire ça. Je ne dessine pas vraiment du tout public pour moi même, en cour c’est différent mais je ne prends pas de plaisir à dessiner, peindre ou sculpter des oeuvres family friendly haha !”

Tu ris doucement, le NSFW est ta spécialité, tu aime dessiner des ébats chaud, bouillonnant, sensuel, romantique, violent même… Tu sors ton téléphone, ouvrant l’application regroupant tes photos, mais tu viens plus précisément ouvrir un album remplis de tes œuvres, lui faisant glisser le téléphone devant lui alors qu’il se perd à essayer de trouver ton âge, ce qui te fais sourire. Tu le regardes quand il annonce une petite fourchette d'âge.

“Et bien ! Tu me rajeunis ~ Haha ! Même si d’habitude on me donne moins encore ! J’ai plus de 200 ans, je suis pas qu’une simple Neko ~ Mon père était un démon et ma mère une neko ~ C’était un sorte de démon du sexe de se qu’on m’à dis… Mais je ne me souviens pas de lui pour être honnête. Mais je n’ai pas vieilli depuis mes 22,23 ans haha.”

Tu le regardes alors saisir ton téléphone pour regarder tes œuvres, guettant ses réactions. Il peut trouver de tout… Mais chaque ouvre présente tu sexe ou des personnes nue.

© MissKat pour Epicode

Les réactions face à tes oeuvres sont toujours très drôles… Souvent de la gêne, parfois de l’excitation ou encore de la surprise et même de l’admiration. Ce que tu peux en lire sur le visage de ton jeune collègue c’est une sorte de mélange de gêne très peu exprimé et beaucoup d’admiration pour ton art, ce qui te flatte énormément. Ces compliments sont tout aussi flatteurs, tu lui souris en l’écoutant, riant un peu à son commentaire sur tes connaissance en anatomie, si seulement il savait… Tu souris et incline légèrement la tête pour le remercier, ne pouvant t’empecher d’ajouter un petit commentaire:

“Mes connaissance sont surtout dû à mon expérience ~”

Sous entendu que tu n’es clairement pas née de la dernière pluie et que tu es loin d'être une vierge ou une sainte ni-touche. En regardant ton collègue et en contemplant son aura tu peut aisément deviner que le jeune homme est loin d'être aussi… frivole que toi, déjà que physiquement le brun ressemble au cliché de l’homme romantique et amoureux, tu te doute que s’il possède une petite amie cependant (ou un petit ami qui sait) il la ferait sans doute grimper aux rideaux comme il se doit, le genre d’homme qui se préoccupe du plaisir de son ou sa partenaire, rare sont ces spécimens, tu y aurais bien goûter si tu n’avais pas décidé de ne pas draguer ou aguicher chaque personnes passant dans ton champ de vision… qui sait ce que l’avenir peut vous réserver… Peut être lui proposera tu un jour… Mais tu n'insisteras jamais, il n’y à rien de plus sexy que le consentement après tout.

Enfin bref, cessons de penser à se taper son collègue une seconde, tu n’es pas là pour ça après tout. Tu écoutes ton ami et collègue te parler alors qu’il te suggère de te faire exposer dans des salons érotiques ou même en musée, qui ne tente rien n’as rien comme on dit. Tu souris et hausse un peu les épaules, tu ne t’ai jamais réellement senti légitime à l’idée de publier tes œuvres, tu souris à sa dernière réflexion.

“Merci Riku… Mais je pense pas que mon art intéressera de vrai amateur d’art, je ne veux pas qu’on vois mes œuvres comme une incitation au sexe, mais comme une œuvre à part entière, pour moi, les corps nue, un rapport intimes qu’il soit brutale, romantique ou même fougueux, c’est un art… Le sexe est un art à part entière… Les corps chaud et humide se collant les uns aux autres, la chaleur se dégageant dans la pièce par ces corps, les cris que l'on peut laisser glisser hors de notre gorge… tout ça est un art, et malheureusement peu de personne pensent comme moi..”

En te rendant compte de ton monologue, tu clignes des yeux et ris un peu.

“Oh lala haha pardon je me suis emporter ! haha”

Tu sourit et secoue un peu la tête pour essayer de passer à autre chose avant qu’il ne réponde à l’annonce de ton âge, tu ris de nouveau et le regarde;

“Je fais plus jeune hein ~ haha”

Tu ne cesse de sourire, cette rencontre te remplis de joie en effet, tu ne pensais pas que tu t’entendrais si bien avec un de tes collègues, tu te sens déjà bien dans cette école, toi qui avait tant voulu y travailler, tu avais tant hésiter à poster ta candidature à l’annonce postée par l’école pour un nouveau professeur d’art. Quand Riku viens à parler de ton père, ton regard se fais presque pétillant:

“Sans doute oui haha ! Un vrai don juan !”

Puis, alors que tu pensais avoir reçu assez de compliments pour la journée, tes joues viennent se teinter d’une belle couleur cramoisie lorsque Riku ajoute que tes élèves étaient chanceux de t’avoir en tant que professeur…

“Je… C’est vraiment gentil… Merci Riku!”

© MissKat pour Epicode

Aux rougeurs que prennent les joues de ton collègue, tu comprend aisément qu’il à bel et bien compris de quoi tu parlais en terme “d’expérience”... Après tout, que serait une immortelle sans expérience sexuelle ? Même la plus chaste des créatures -dieu seul sait qu’il y’en à peu- ont au moins une fois gout au plaisir de la chaire, après tout ce serait dommage de ne pas profiter d’un tel délice, enfin de ton humble avis. Tu laisses un petit sourire malin se glisser sur tes lèvres alors qu’il reprend rapidement contenance pour te faire rougir à ton tour. Te laissant te perdre aussi dans ton monologue qui pourrait être pris pour les paroles d’une perverse accomplie, mais il est bien autre chose que cela… La passion qui sort de tes mots est forte et belle, Riku, buvant tes paroles comme sa tasse de thé encore présente sur la table, te rassure rapidement quand tu t’excuse t’être perdu dans ton monologue.

Un beau sourire adorable se dessine à présent sur ton visage, heureuse d’avoir trouver un jeune homme compréhensif et à l’écoute en sain de ton entourage professionnel, tu sens aisément que Riku allait devenir bien plus qu’un simple collégue, tu te vois deja te comporter comme avec un meilleur ami gay avec lui… Car on va pas se mentir, tu sens tout aussi facilement que le reste qu’il ne se passerait absolument rien entre vous, et ce n’est pas plus mal, Riku à beau avoir un visage adorable et un sourire à croquer, tu avais l’impression que son coeur était pris et qu’il était loin d'être aussi frivole que toi, puis ça te ferais au moin un pote avec qui tu n’as pas coucher et avec qui ce n'est pas awkward quand vous êtes seuls.

“Tu es vraiment adorable Riku ! Que dirais-tu d’aller boire un verre un de ces quatre ? Je peux te demander ton numéro de téléphone ?”
Alors que ton regard vient se poser sur ton téléphone afin de regarder l’heure, tu découvre que cela fait déjà une bonne heure que vous discutez tous les deux, tu sourit et acquiesce à ces paroles:

“Je connais pas le bâtiment par coeur, je connais le numéro de ma salle mais pas vraiment où elle se situe, je pourrais plus facilement me repérer avec toi comme guide !”

Tu te lèves alors, posant ta tasse dans l’évier derrière toi, avant de venir prendre le bras de ton collègue pour te coller à lui en douceur, ne pensant pas une seconde que cela pourrait être mal interprété ou quoi que ce soit et lui souris.

“Je te suis !”

© MissKat pour Epicode