Je sens que mon séjour aux pays du soleil levant va me laisser des séquelles. Cela ne fait même pas une semaine que j’ai débarqué que je me retrouve déjà à courir dans le quartier populaire du coin pour essayer de récupérer un colis d’une certaine valeur qui m’a été envoyé par voie postale et en économique ! Comment cela a pu arriver ? Comment je pouvais imaginer qu’on allait m’envoyer un prototype de cartes-mères à mon domicile à la place de l’envoyer à mon bureau de travail ? Sachez que face à cette situation assez cocasse, pour rester poli, je suis resté calme et professionnel. Le responsable qui a envoyé ces colis s’est un peu mélangé les pinceaux. Car oui, on ne parle pas d’un, mais bien de deux colis dans cette histoire. Ce qui était prévu d’origine, c’est qu’on m’envoie mon nouveau smartphone de travail chez moi en économique car il n’y avait pas d’urgence et ce prototype de cartes-mères au bureau en express par une société de livraison spécialisé pour ce genre de coli.
Alors vous allez vous demander, mais pourquoi je cours en ce lieu ? Eh bien n’ayant pas été chez moi, le postier à laisser un avis de passage qui m’invita d’aller récupérer mon colis chez eux. Ce que je fis juste avant sa fermeture, mais alors que j’analysais le colis en mains me demandant si c’était bien mon portable, un individu, pour ne pas une petite racaille, m’a fauché mon colis avant de fuir à toute vitesse. Il me fallut deux secondes pour comprendre ce qui m’arrivait avant de prendre le voleur en course-poursuite. Bon sang ! Elle avait si bien commencé cette journée, elle va finir dans la sueur et peut-être dans le sang ! Alors que je talonnais mon emprunteur de colis, mon portable personnel se mit à sonner. Bon sang, j’espère que j’avais le Japon dans mon abonnement mobile, je répondis légèrement énervé :
- J’espère que c’est important !
– Excusez-moi de vous déranger Monsieur Renard, mais il y a eu une erreur lors de l’envoi de votre smartphone professionnel. Vous allez recevoir un colis à ramener au bureau, faites attention, c’est un prototype ainsi, vous pourrez récupérer votre smartphone professionnel qui est arrivé au bureau à la place du prototype.
– Oh bon sang !
C’est bon, j’avais tous les éléments en ma possession pour savoir que la vie peut se montrer sadique. Pourquoi sadique ? Faire une course-poursuite après 08 h 00 de travail, ce n’est pas mon kif comme dirait certain. Je raccrochais avant de remettre mon portable dans la poche de mon jeans. Je me mis à sprinter et à tendre la main pour lui attraper sa capuche à l’autre.
Magnifique ! Il se met à pleuvoir à verse… Alors que notre petit footing du soir continua, je réussis à lui attraper la capuche avant qu’il ne puisse rentrer dans une ruelle. Je le fis tomber sur les fesses, mais j’ai dû lâcher prise, car mes chaussures, super pas adapter à ce genre d’activité, décidèrent de me faire glisser, mais par ma grande connaissance en mécanique et en centre de gravité, je pus rester debout au prix de lâcher mon voleur. Non, je rigole pour ma connaissance en mécanique et tout, j’ai eu une chance monstre de ne pas tomber, c’est tout.
Le temps que mes pieds prennent de nouveau de l’adhérence avec le sol mouillé, mon ami capuchonnait a pu se relever avant de rentrer dans la ruelle, je vis qu’il boitait. Son coccyx n’a pas dû apprécier sa rencontre avec le macadam. Il disparut pendant trois secondes le temps que je puisse atteindre la ruelle dans laquelle il s’était réfugié.
– Où est-ce qu’il l’est ?
Dis-je de façon légèrement irritée d’être en chemise blanche et en jeans, tous deux trempés par la pluie et moi respirant fort pour récupérer mon souffle. Il ne pouvait pas aller loin et vu sa chute, je pense qu’il devait essayer de se planquer, il était peut-être plus en état de faire son sport du soir.
Pendant que j’essayais de repérer ma cible, mes collaborateurs japonais m’envoyèrent un lien pour télécharger une application de pistage avec un code à indiquer qui correspondait à la puce de traçage présent dans le colis. Si le colis était dans le coin, j’allais vite le retrouver.
Alors vous allez vous demander, mais pourquoi je cours en ce lieu ? Eh bien n’ayant pas été chez moi, le postier à laisser un avis de passage qui m’invita d’aller récupérer mon colis chez eux. Ce que je fis juste avant sa fermeture, mais alors que j’analysais le colis en mains me demandant si c’était bien mon portable, un individu, pour ne pas une petite racaille, m’a fauché mon colis avant de fuir à toute vitesse. Il me fallut deux secondes pour comprendre ce qui m’arrivait avant de prendre le voleur en course-poursuite. Bon sang ! Elle avait si bien commencé cette journée, elle va finir dans la sueur et peut-être dans le sang ! Alors que je talonnais mon emprunteur de colis, mon portable personnel se mit à sonner. Bon sang, j’espère que j’avais le Japon dans mon abonnement mobile, je répondis légèrement énervé :
- J’espère que c’est important !
– Excusez-moi de vous déranger Monsieur Renard, mais il y a eu une erreur lors de l’envoi de votre smartphone professionnel. Vous allez recevoir un colis à ramener au bureau, faites attention, c’est un prototype ainsi, vous pourrez récupérer votre smartphone professionnel qui est arrivé au bureau à la place du prototype.
– Oh bon sang !
C’est bon, j’avais tous les éléments en ma possession pour savoir que la vie peut se montrer sadique. Pourquoi sadique ? Faire une course-poursuite après 08 h 00 de travail, ce n’est pas mon kif comme dirait certain. Je raccrochais avant de remettre mon portable dans la poche de mon jeans. Je me mis à sprinter et à tendre la main pour lui attraper sa capuche à l’autre.
Magnifique ! Il se met à pleuvoir à verse… Alors que notre petit footing du soir continua, je réussis à lui attraper la capuche avant qu’il ne puisse rentrer dans une ruelle. Je le fis tomber sur les fesses, mais j’ai dû lâcher prise, car mes chaussures, super pas adapter à ce genre d’activité, décidèrent de me faire glisser, mais par ma grande connaissance en mécanique et en centre de gravité, je pus rester debout au prix de lâcher mon voleur. Non, je rigole pour ma connaissance en mécanique et tout, j’ai eu une chance monstre de ne pas tomber, c’est tout.
Le temps que mes pieds prennent de nouveau de l’adhérence avec le sol mouillé, mon ami capuchonnait a pu se relever avant de rentrer dans la ruelle, je vis qu’il boitait. Son coccyx n’a pas dû apprécier sa rencontre avec le macadam. Il disparut pendant trois secondes le temps que je puisse atteindre la ruelle dans laquelle il s’était réfugié.
– Où est-ce qu’il l’est ?
Dis-je de façon légèrement irritée d’être en chemise blanche et en jeans, tous deux trempés par la pluie et moi respirant fort pour récupérer mon souffle. Il ne pouvait pas aller loin et vu sa chute, je pense qu’il devait essayer de se planquer, il était peut-être plus en état de faire son sport du soir.
Pendant que j’essayais de repérer ma cible, mes collaborateurs japonais m’envoyèrent un lien pour télécharger une application de pistage avec un code à indiquer qui correspondait à la puce de traçage présent dans le colis. Si le colis était dans le coin, j’allais vite le retrouver.